Un invité particulier...

Kimihiro continuait de l’embrasser, il ne voulait plus la lâcher ! Il adorait ça, pouvoir toucher ses lèvres et…Sentir son corps contre le sien…Il frissonna à nouveau lorsqu’il sentit sa main se poser sur son torse et glisser doucement pour venir se mettre dans son dos. Il posa doucement sa main sur la jambe de la jolie demoiselle et il commença ses caresses, montant et descendant doucement. Elle avait la peau si douce ! Enfin bref il commençait à ne plus pouvoir résister à l’envie d’aller plus loin mais…Peut être que elle elle préférait attendre et il ne le ferait que lorsqu’il serait sur qu’elle accepte, même si il en mourait d’envie !

La main de Kimihiro remonta doucement, il arriva sur son ventre après l’avoir caresser et il monta encore, doucement tout en l’embrassant. Leurs corps étaient pratiquement collés mais il y avait assez de place pour que sa main puisse passer et elle continuait de monter. Puis finalement elles s’arrêtèrent, au bon endroit bien évidemment et il commença à la caresser doucement. Il continuait de l’embrasser, laissant parfois sa langue venir caresser les lèvres de Yuuri’, il avait envie de la rajouter à ce magnifique baiser mais il préférait attendre plutôt que de la brusquer et surtout qu’elle n’avait pas l’habitude, enfin d’après ce qu’elle disait c’était la première fois…Il descendit ses deux mains et les laissèrent glisser sur les jolies jambes de Yuuri’. Il se leva et la porta en même temps, il la tenait bien donc elle ne risquait pas de tomber puis il se mit assis sur le canapé (enfin si ils n’ont pas changés d’endroit xD) et il la mit ensuite assise sur lui, tout en l’embrassant. Il laissa ses mains glisser une dernière fois le long de ses jambes puis il caressa son dos, laissant une de ses deux mains sur sa jambe qu’il caresser en même temps que son dos ! Il l’approcha à nouveau en appuyant un peu sur son dos pour la coller contre lui. Il était si bien comme ça, il ne voulait plus partir, ne plus la lâcher et continuer de profiter de ce magnifique moment : ).



(désolé c'est vraiment court mais pour l'instant je n'ai pas beaucoup de détail à raconter =O)

Les caresses de Kimihiro se faisaient de plus en plus précises et éveillèrent bientôt l'envie d'aller plus loin chez Yuuriko même si elle devait y résister. Les baisers du jeune homme ne demandaient qu'à s'approfondir par cette langue qui venait parfois lécher ses lèvres et elle y consenti, goûtant ainsi au plaisir d'un vrai baiser. Une main se glissa jusqu'à son ventre, la faisant frissonner agréablement, comme une invitation à se détendre. Kimihiro ne le savait pas mais Yuuriko adorait les frissons, ils lui donnaient l'occasion de se relaxer plus facilement, ce qu’elle ne tarda pas à faire. La main repris son ascension mais cela ne gênait pas vraiment la jeune fille même si ses joues restaient d’un joli rose. Elle n’aurait su être plus détendue, les baisers du jeune homme étaient telle des bonbons que l’on fait rouler sur sa langue et dont on voudrait qu’ils n’aient pas de fin, de même ses caresses étaient aussi douces et attentionnées que s’il avait voulu rassurer un petit animal sauvage qu’il n’y avait rien à craindre de lui.
Comment faire pour résister à cela, je vous le demande ?!

Au bout de quelques minutes, Yuuriko se sentit soulevée pour finalement se retrouvée assise sur les genoux de Kimihiro, elle avait entouré le cou du jeune homme de ses bras lorsqu’il l’avait porté et ne les avaient pas décrochés une fois qu’ils furent à nouveau assis. Il la pressa légèrement dans le dos pour la rapprocher de lui et elle avait fini tout contre lui. Le hic qui survint et dont elle ne voulait pas se soucier, fut la sonnerie de son portable qui résonnait avec insistance. Elle refusa de décrocher au premier appel, laissant sonner le téléphone jusqu’à ce que la personne à l’autre bout du fil raccroche ou tombe sur la messagerie de son portable. Malheureusement, la sonnerie reprit une seconde fois et Yuuriko dû se résoudre à mettre fin aux merveilleux baisers de son invité et bienfaiteur.

« Je suis désolée, je vais répondre sinon, ça n’en finira pas » répondit-elle doucement.

Quittant à grand regret les bras du jeune homme, elle se dirigea vers son sac qu’elle avait posé sur l’un des meubles pour y prendre son portable et répondit à cet appel inopportun.

« Allo ? »

[…]

« Non papa, je ne viendrai pas et ce n’est pas la peine d’insister ! Je te l’ai déjà dit ! » répondit-elle agacée par l’appelant qui n’était autre que son propre père.

[…]

« Parce que c’est ton ami et pas le mien, parce que la vue de son fils me rend malade et que je n’ai pas envie de supporter encore une fois ses allusions douteuses et ses gestes déplacés, voilà pourquoi ! » répondit-elle franchement énervée à présent.

[…]

« Je ne dis pas cela pour te faire de la peine ! Pourquoi faut-il toujours que tu mettes des œillères et que tu n’acceptes pas ce que je te dis ? » répondit-elle à présent plus calmement mais semblant fatiguée par la conversation.

[…]

« Non, je ne changerai pas d’avis. Au revoir papa. » dit-elle avant de raccrocher et d’éteindre son portable.

Son père voulait qu’elle assiste à la fête d’anniversaire qu’il avait prévue pour un de ses amis. L’homme en question était assez respectable même si Yuuriko n’avait parlé que deux fois avec lui, par contre, le fils de ce dernier, c’était tout autre chose. Profitant du statut important de son père, il se croyait tout permis, faisait des allusions des plus douteuse à la moindre discussion et faisait toujours en sorte d’être assis à côté de la jeune fille lorsque venait le moment du repas. Il pensait profiter de sa cécité bien qu’à chaque tentative de sa part, Yuuriko le remballait froidement et agressivement. Il fallait croire que le cerveau de cet individu se trouvait ailleurs que dans sa boîte crânienne car il réessayait chaque fois qu’il voyait Yuuriko. Son père la culpabilisait chaque fois qu’elle refusait d’aller à cette soirée et lui faisait tout un tas de reproches, ce qui laissait généralement la jeune fille abattue.

Elle revint s’assoire près de Kimihiro et se réfugia dans ses bras espérant ne plus en ressortir. Elle n’essaya pas de reprendre leur baiser là où elle avait été obligée de l’interrompre car cela aurait été pour elle comme utiliser le jeune homme comme une bouée de sauvetage hors, ce n’était pas ce qu’elle désirait. Celui-ci lui plaisait et l’attirait trop et elle voulait pouvoir avoir une relation saine avec lui, que ce soit amicalement parlant ou amoureusement. Pour le moment, les battements de cœur du jeune homme suffisaient à l’apaiser…

[Pas de problème ^^ C'est normal]

Si Yuuriko ne fit pas mine de reprendre leur baiser, Kimihiro, lui, revint à la charge (passez moi l'expression). Ses lèvres retrouvèrent rapidement celles de la jeune femme avant de se laisser glisser sur le sofa pour se retrouver allongé, Yuuriko au-dessus de lui. Elle aurait dû encore laisser sonner... La remarque la fit sourire. Elle avait fait bien mieux que ranger son portable, elle l'avait carrément éteint. Il reprit possession de ses lèvres, caressant à nouveau la jambe de la jeune femme. La position assez inhabituelle pour elle, la fit rougir légèrement, sentant sous elle chaque muscle de son invité. Tout cela sans parler que dans cette position, ses seins étaient littéralement compressés contre le torse du jeune homme et que son entre-jambe était située juste un peu au-dessus de celui du garçon... Elle n'avait pas l'esprit spécialement pervers mais ce genre de situation étant assez nouvelle pour elle, la moindre sensation sortant de l'ordinaire était sujet à réaction.

Très vite, elle devint soupirante, électrisée par la situation mais gardant toutefois la tête froide mais s'il lui était de plus en plus difficile de résister au charme tant physique que morale du jeune homme. Elle savait déjà qu'elle finirait par céder tant il prenait soin de la rassurer par ses gestes tendres. Quelques mèches de cheveux vinrent encadrer son visage. C'est à ce moment là qu'elle décida de se redresser, séparant une fois de plus leur lèvres. Assise sur ses chevilles, elle se retrouvait entre les jambes du jeune homme. La rougeur de ses joues n'avait pas disparut, sa respiration augmentait d'un cran et son coeur battait réellement très fort dans sa poitrine. Elle avait un peu peur de passer pour une idiote mais comment dire à un homme qu'il vous plaît mais que cela vous fait peur en même temps ?

"Kimihiro... Je... Tu me plais beaucoup... Mais je..." commença-t-elle hésitante

Elle soupira d'exaspération car elle n'arrivait pas à trouver le bons mots pour dire ce qu'elle ressentait. Elle se sentait faible, Kimihiro aurait pu faire ce qu'il voulait d'elle qu'elle n'aurait pas résister, ou du moins, pas très sérieusement. Cela l'inquiétait grandement, détestant ses faiblesses (ou plutôt ce qu'elle considérait comme des faiblesses), le jeune homme lui plaisait tellement, même si elle le connaissait à peine. En général, elle arrivait à juger une personne dès la première rencontre mais Kimihiro lui plaisait alors qu'il restait encore un mystère pour elle. Elle essaya de se faire comprendre d'une autre manière...

Jusqu'ici, c'était Kimihiro qui avait toujours prit l'initiative mais cette fois, elle se pencha vers lui et l'embrassa timidement, lui carressant le visage d'une main légèrement tremblante. Son coeur cognait fort dans sa poitrine, presque à lui en faire mal, elle interrompit son baiser et posa son front contre celui de Kimihiro, reprenant son souffle qui était un peu plus rapide... Pouvait-il percevoir son inquiétude malgré l'attirance qu'elle ressentait pour lui ?

La surprise se peignit sur le visage de Yuuriko, de même que le rouge de ses joues venait de prendre une teinte presque vermeille. Elle lui plaisait aussi, c'était ce qu'il avait dit... Elle aurait pu s'en douter mais elle savait que certains garçons n'hésitaient pas à jouer avec les sentiments des jeunes filles qu'ils séduisaient et pendant une bref moment, elle avait eut peur que Kimihiro soit ce genre de garçon. Ce qui l'étonnait, c'était l'ensemble de sa phrase, bien entendu, le fait qu'elle lui plaise mais qu'elle était la première qu'il laissait l'approcher aussi longtemps, avec qui il était allé aussi loin et... Que voulait-il dire par "les filles dans son genre" ? Elle lui aurait bien posé la question mais lorsqu'il la resserra contre lui, elle ne pu que céder pour son plus grand bonheur avec un gémissement à peine audible qui l'étonna elle-même. Chose surprenante, elle commençait à avoir chaud, un peu comme lorsque l'on est prit de fièvre, sans compter que son soufflene se calmait pas, qu'elle pouvait sentir qu'il en était de même pour le jeune homme et que son coeur battait à présent de manière anarchique, sautant un battement, accélérant brusquement...

Non habituée à ce genre de ressenti, tout cela l'inquiétait fortement, est-ce que tout cela était bien normal ? Elle n'en savait rien. De plus, son coeur et son corps lui disait de se laisser aller alors que sa raison lui disait tout le contraire. Ne sachant plus où donné de la tête, elle préfèra procéder à un vote intérieur (ce n'est qu'une image bien entendu), son coeur lui disait de céder, que pour une fois, cela ne lui ferait pas de mal et qu'elle en avit sans doute besoin, son corps, lui disait la même chose et sur les mêmes arguments et sa raison lui intima de résister car elle n'en savait pas assez et donc n'avait aucune assurance sur sa relation future avec Kimihiro. le dépuoillage du scrutin fut vite fait, deux voix pour contre une opposée, la majorité l'emportait. Ce devait être la chose la plus embarrassante qu'elle ait eu à faire de toute sa vie jusqu'alors, elle se redressa à nouveau pour se retrouver à la même place que précédemment et rouge comme une pivoine, les mains tremblante, elle commença à déboutonner lentement sa chemise...

Elle pouvait sentir le sourire du jeune homme, comme un rayon de soleil éclairant le soir qui s'installait. Il ne lui restait plus que quelques boutons à défaire lorsque qu'elle sentit les mains de Kimihiro se poser sur sa peau, la faisant frissonner sous la caresse. Ses mains semblaient brulantes, embrasant la peau de Yuuriko centimètre par centimètre à mesure de ses caresses d'une lenteur et d'une douceur délibérée. Lorsqu'il promena ses mains sur ses flancs, la jeune fille dû se retenir de rire, c'est que comme on le sait, elle est chatouilleuse... Toutefois, l'effort ne fut pas trop difficile car cette fois, il s'agissait bien de caresses et non de jeux, l'envie de rire se transforma rapidement en frissons et en soupires. Une fois arrivée au dernier boutons de sa chemise, elle laissa glisser le vêtement qui se retrouva sur le canapé, faisant découvrir au jeune homme la chair ferme de ses seins ronds. En se changeant un peu plus tôt, elle n'avait pas remis de soutient pour plus de confort, elle n'avait pas prévu ce qui se passait à présent mais d'après ce qu'elle avait déjà entendu sur la maladresse des hommes quant à défaire les soutients gorges des femmes, elle se falicitait de ne pas en avoir remis.

Malgré tout, ce genre de situation restait embarrassante et ayant un réflexe pudique, elle croisa ses bras sur sa poitrine de manière à la cacher aux yeux du jeune homme qui pourtant n'en devait pas avoir raté une miette lorsque sa chemise avait glisser... Elle voulait donner à Kimihiro ce qu'il semblait vouloir et qu'elle désirait aussi mais inexpérience et pudeur se disputaient sa volonté. Se laissant toutefois toucher par le jeune homme, elle continuait de frissoner sous ses mains, sentant une chaleur iradier dans son propre corps comme si la chaleur de Kimihiro éveillait en elle un foyer de chaleur au centre de son être. Sa respiration s'accéléra quand elle sentit que les mains du jeune homme continuaient leur exploration tout en montant lentement vers les attributs qu'elle dissimulait pudiquement.

[Désolée, c'est court, mais j'ai peur de contrôler ton perso si je continue ^^"]

Les mains de Kimihiro sur sa poitrine... Seigneur, elle frissona comme si cela venait du tréfond de son être. Elle s'abandonna dans les prémisses du plaisir. Et le sourire du jeune homme, non seulement la séduisait à chaque fois qu'elle le devinait sur ses lèvres, mais en plus la rendait plus confiante. Les baisers dans le coup de la jeune fille lui donnait agréablement la chair de poule et elle enroula ses bras autour du cou du jeune homme, passant une main légèrement tremblante de désir dans les cheveux de Kimihiro. Les lèvres de ce dernier retrouvèrent rapidement celle de la jeune fille qui répondit impatiente aux baisers. Elle le sentit un moment retirer ses mains de son corps pour ensuite sentir la peau de son torse nouvellement dénudée contre la sienne. La sensation était très très agréable et il avait si chaud... Elle s'accrocha autour de son cou lorsqu'il la porta légèrement pour changer de position en enroulant ses jambes autour du bassin du jeune homme. Position des plus exitantes surtout quand on sait qu'elle se retrouva collé contre lui. Chose étonnante, il n'avait pas cessé de l'embrassé une seule fois, demandant l'accès à sa bouche de sa langue venant caresser les lèvres de Yuuriko. Elle ouvrit la bouche pour joindre d'elle-même sa langue à celle du jeune homme, les baisers du jeune homme étaient toujours autant déroutant...

Au fur ét à mesure des caresses et des baisers, de légers gémissements et soupires lui échapèrent, prouvant son plaisir et son impatience grandissante. Elle se faisait l'impression d'être un chat ronronnant à chaque caresses qu'on lui faisait, l'image n'était peut-être pas la meilleure qui soit mais c'était l'impression qu'elle avait. Les mamelons de ses seins s'étirèrent, pointant contre le torse de Kimihiro, parcouru de petites décharges de plaisirs. Ce qu'elle trouvait de bien, de très bien même, ce fut de sentir que Kimihiro prenait tout son temps, comme si chaque geste longuement produit pour qu'elle ne s'effraie pas, qu'elle s'habitue et apprécie...