It's Gravitation
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Venez nous rejoindre dans l'univers du manga de Maki Murakami, au côté de Shuichi Shindô et Eiri Yuki et de tous leurs amis (et ennemis =D) dans le monde de la musique !
 
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 Le commencement de la fin de la nuit

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Subaru Kurosaki
Admin - Futur écrivain, délinquant, gentil
Subaru Kurosaki


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MessageSujet: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptySam 4 Avr - 0:30

[Suite de pleins de sujets surtout de Réconfort e tj'sais plus quoi]
[Happy <3 Musique d’ambiance que j’ai pas trouvé sur Deezer Désolé pour le montage pourri, malheuruesement j'avais la flemme d'allumer Toshop]

Le commencement de la fin de la nuit Thecom10


Alors que cela faisait quelques secondes qu’Eiri avait terminé de réduire en miettes les hommes qui avaient tentés de violer le chanteur aux cheveux roses répondant au nom de Shuichi Shindô, le jeune garçon annonça qu’il avait un peu froid, appelant le romancier par son nom de plume, comme d’habitude. Bien sûr que son amant avait froid, c’était normal, vu qu’il était torse nu et que nous étions la nuit, et puis soudainement, il remercia l’écrivain d’être venu et lui dit quelque chose qu’il lui disait quasiment tous les jours, que le blond n’arrivait jamais à prononcer. Je t’aime. Ces mots qui font valser les cœurs des gens à qui ce message est destiné, ses mots qui à eux trois ouvre le cœur et calment la plupart du temps les personnes. Sur Eiri sa ne faisait pas grand-chose, mais en même temps sa faisait tout. En apparence il ne broncha pas, alors qu’il aurai dut, vu que quelques minutes avant Shuichi lui avait mit une claque, mais à la place, son visage n’afficha rien. Mais son esprit se calma, oui, les yeux révolvers, la colère contre ses pauvres types tous par terre à présent, disparurent soudainement. Même un baiser n’équivalait pas la force des mots.
- …Idiot…

Manière habituel d’Eiri pour répondre aux mots d’amour du chanteur qui à présent dormait sûrement paisiblement dans ses bras, et quand le blond se rendit compte que personne ne répondit rien, il se leva, soulevant par la même occasion le dormeur aux cheveux roses et lui remit son haut que les vilains garçons qui maintenant étaient effrayés par la force du romancier n’avaient plus rien de méchant avaient enlevés. Il eut bien sûr du mal, parce que c’était lourd un corps inanimé, mais étant assez fort, il réussit assez rapidement tout de même à remettre le haut de Shuichi, puis le prit sur son dos. En y réfléchissant, si Eiri ne l’aimait pas, il n’aurait jamais fait cela pour le jeune chanteur. Non, il n’avait aucune raison de le faire après tout… En plus le garçon aux cheveux roses lui avait mis une claque, ce qui aurait put signifier toute la fin d’un couple, mais… N’était ce donc pas la preuve que le romancier était au final, bel et bien amoureux, ou alors ressentait un grand sentiment pour son amant ?

La nuit était noire, mais illuminé par la lune, qui certes n’était qu’à demi-pleine, mais éclairait déjà bien, en plus des lumières, la ville. Tokyo, qui comme New York ou il avait vécu avec son professeur et Tohma dans le passé, était une ville qui ne dormait jamais… Un peu comme lui, à cause de son métier d’écrivain. Il marcha, avec Shuichi sur son dos. Les rares gens qui passait dans les rues, et les conducteurs – ou passagers - des voitures qui venaient parfois à attendre que les piétons traversent, s’étonnaient de ce drôle de duo, mais pour une fois, Eiri ne s’en plaignait pas, non, même, il s’en fichait. Qu’est ce que les gens pouvaient dire ? Ils faisaient ce qu’ils voulaient au final. Si deux stars s’aimaient, qui ou quoi pouvait les en empêcher ? L’amour est plus forte que tout après tout. Et à ses raisons, que la raison ignore. Ainsi, suivant trait pour trait la citation qui dit que l’amour rend aveugle, Eiri marchait sans avoir l’air de voir les gens qui eux, voyait bel et bien un blond avec un garçon aux cheveux roses sur son dos.

Arrivé à l’appartement, il l’ouvrit doucement sans trop faire de bruit, et tourna sa tête voyant que Shuichi dormait apparemment toujours. D’ailleurs quel drôle de manière de s’endormir, mais bon c’était bien digne du chanteur, de cet idiot d’amant. Les paroles de Yuuriko revenant dans sa tête… Celles des hypothèses, celles des réponses, au final, à ses questions. Il n’aurait jamais cru obtenir des réponses exactes. Et pourtant… Lui aussi avait peur de perdre le chanteur… La preuve, sinon il serait partit quand Shuichi lui avait mit une claque… Et d’ailleurs, quel étonnement, il n’aurait jamais pensé le chanteur capable d’agir ainsi. Posant délicatement au final son amant dans son propre lit, après l’avoir un peu déshabillé sachant qu’il ne trouverait pas le sommeil avant d’avoir calmé la petite voix qui gigotait en lui, il regarda la nuit au dehors et soupira en apercevant la lune. Se rappelant de cette maudite chanson que Shuichi avait en quelque sorte improvisé. In the moonlight, toujours et encore, cette chanson la poursuivait ou quoi ? Déjà au bar il y avait pensé…Qu’est ce que je fais dans cette pièce ou tu n’es pas ? Eiri se retourna et regarda son amant qui dormait dans le lit. Avait-il déjà ressenti ce sentiment ? Allez savoir…


- Je…
Se rendant compte qu’il avait failli parler dans le noir, tout seul, Eiri se mit à soupirer, décidemment, il devenait vraiment fou ces temps ci. Non seulement une petite voix lui parlait mais en plus il voulait parler au mur ou à la nuit. Il était temps de se coucher et terminé ses heures de sommeil. Mais avant, il fallait s’apaiser. Pourquoi ? Peut-être parce que le romancier était un peu troublé, par il ne savait quoi et cela l’énervait. Ainsi, il continua de regarder la lune, qui paraissait le regarder aussi. Se moquait-elle de lui ?

*Mais qu’est ce que je suis entrain de faire moi ?!*

Ce rendant compte qu’il n’étais toujours pas entrain de dormir et qu’il avait failli dire dans le noir les trois mots qui calmait, alors qu’il n’avait pas l’habitude de les prononçer, il finit par conclure qu’il avait sûrement besoin de sommeil, et se déshabilla à son tour, un peu, assez pour se mettre dans son lit, ou le crétin de chanteur dormait et tenter de s’endormir, même si le sommeil vint très lentement.

Ainsi, le début du commencement de la fin de la nuit démarra.
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyMar 7 Avr - 22:47

La nuit porte conseil, c’est ce que l’on dit en général. Shuichi lui dormait, où ? Il l’ignorait peut être qu’Eiri la ramener chez ses parents…le chanteur n’osait pas ouvrir ses yeux violets de peur de se retrouver allonger dans son lit dans sa propres chambre et puis de toute façon,il était trop fatiguer pour ouvrir ses yeux pour vérifier. Le chanteur aux cheveux roses rêvait, il rêvait de ce qui s’est passer, ce qui se serait passer si eiri n’était pas venut, cela le fit frissonner. Puis le romancier se mit dans le lit et là le cauchemar de shuichi disparut, de ce fait, Shu-chan se retournait en direction de Yuki, la tête près de la sienne.
Le seul moment où Shuichi était calme, c’est lorsqu’il dormait et Eiri le savait.

La nuit se termina donc dans le silence, Shuichi contre son amant, Eiri qui ne doit pas vraiment apprécier. Quelques heures plus tard, le soleil s’était levé, les rayons traversaient la fenêtre et éclairaient les deux têtes blondes et roses des deux dormeurs. Shuichi ? Lui, il dormait encore, sous les draps chauds. Mais il murmurait :


_ Embrasse-moi….Yuki.


[pas d'imagination]
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Subaru Kurosaki
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Subaru Kurosaki


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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyJeu 9 Avr - 22:03

Même si le sommeil était venu lentement chez l’écrivain et qu’il avait mis un peu de temps pour s’endormir, une fois que c’était arrivé, il c’était profondément plongé dans le monde des rêves, et contrairement à l’autre fois qu’il s’était endormi, il n’avait fait aucun cauchemar, était cela preuve que Shuichi servait d’attrape-cauchemar ? Allez savoir, l’amour est tellement bizarre… Tous les sentiments le sont. C’est ça qui fait que les êtres humains sont tous différents caractériellement. Ses rêves ne parlaient que de shortcake, de sucreries diverses et de Shuichi. Cela était sûrement encore l’une des preuves qu’il aimait le chanteur aux cheveux roses, malgré les dires de beaucoup de gens.

Le lendemain arriva très vite, même si Eiri ne le savait pas… Et alors que le soleil était levé il dormait encore, et n’entendit donc pas les murmures de son amant. Pourtant, il se retourna pour être face au chanteur et resta comme ça, sans plus bouger, se remettant sur le ventre, tout en dormant… Et, comme perdu à nouveau dans un rêve avec Shuichi, il murmura très doucement…


- Abruti…


Et ouvrit les yeux, comme s’il se réveillait de son rêve à cause du fait qu’il parlait en dormant. Il ne se souvenait d’ailleurs pas de ce qu’il avait dit, ignorant totalement qu’il parlait quand il dormait et que c’était la même chose pour Shuichi. Eiri regarda un peu autour de lui, le chanteur aux cheveux roses était près de lui, tout près… Tellement peu loin… Il aurait put le ramener chez ses parents, l’abandonner, le laisser tomber, même si son amant avait à nouveau prononcé « je t’aime » après que le blond est fait très mal aux agresseurs… Mais non, il ne l’avait pas fait. Il ne l’avais pas laisser tout seul.

*Au final j’ai finis par dormir avec lui… *

Dans un soupir très silencieux, il se rappela qu’aujourd’hui même, son éditrice allait l’appeler pour l’informer du nouveau livre, et lui donner la permission de le commencer… Et fini par s’enlever du lit très doucement. Il rentra dans la salle de bain, et commença à se doucher.
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyDim 12 Avr - 14:38

Shu-chan dormait encore, il était si calme pendant ce temps que le blond devait être content de pouvoir finir sa nuit. Les minutes passaient et le jeune chanteur n’avait toujours pas bougé du lit. Le problème c’est qu’il risquait d’être en retard a son boulot et ça s’était une chose a éviter quand votre manager est un fou furieux, déjanter qui aime les armes a feu et a tirer sur ses protéger, un grand blond Américain qui s’énerve pour un rien et pointe son arme sur vous. Cet Américain qui avait confondu le pauvre petit chanteur aux cheveux rose avec la plus grande star du Japon : Ryuichi Sakuma. Ce blond déjanté s’était K. Winchester, appelons le K, et si il venait réveiller Shuichi a coup de dippbip bippdipp, un autre blond ne va pas être content, surtout que la dernière fois, Eiri a faillit lui mette un poing dans la figure. Mais sa s’était une autre histoire.

Shuichi se réveillait en entendant l’eau de la douche couler, il ouvrait doucement ses yeux, regardant où il était mais en restant allonger. Était-il chez lui, chez ses parents ? Où dans l’appartement d’Eiri ? C’est en ce mettant sur son dos qu’il eu la réponse, il était sur un lit de deux personnes donc c’était l’appartement de Yuki. Il soupira de soulagement, car dans un sens il ne voulait pas retourner chez parents, sachant que son père n’a pas dû digérer qu’il était Gay, un peut comme le père d’Eiri. Et puis qu’est-ce que sa pouvais leurs faire que Shuichi était gay, ce n’est pas de sa faute. Bref…passons à autre chose.

Le jeune chanteur enleva les couvertures et remarqua qu’il était à moitié dévêtu, bon sa doit Eiri qui la déshabillé pour qu’il dort bien. Tant que c’est le romancier qui le dévêtait ce n’été rien, Shuichi s’habillait, en passant devant la salle de bain, il entendait encore l’eau couler ce qui signifier qu’Eiri se doucher, il aurait voulut être sous la douche contre son amant…. Espérant qu’Eiri était encore son amant, car après la claque c’était compréhensible si il ne voulait plus de lui. Shuichi était triste en passant à ça et se dirigeait vers la cuisine pour prendre son petit-déjeuner. Le téléphone avait sonné quand, le chanteur avait passé devant. Il décrocha.

_ Allo ? Shuichi Shindô à l’appareil

Une voix féminine sortait de combiner de téléphone, Shuichi reconnaissait cette voix, c’était celle de Mlle Mizuki, elle voulait savoir si Eiri était là et si elle pouvait l’avoir.

_ Oui il est, je vais vous le passer.
Shu-chan s’approchait de la porte de la salle de bain et toquait à celle-ci.
_ Yuki ? C’est pour toi, c’est Mlle Mizuki.
Shuichi attendait que la porte s’ouvre.
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Subaru Kurosaki
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyLun 13 Avr - 14:22

[Si tu trouves que j’ai contrôlé Shu-chan, tu peux me frapper à coup de battes. *tend sa batte*]

Il prenait sa douche, tranquillement, se demandant si l’autre idiot était réveillé, sans se soucier du téléphone qui allait bientôt sonner, sans se dire que peut-être K allait-il débarquer et menacer son amant dès le matin. Et si cela arrivait il n’avait qu’à jeter l’américain de l’appartement. Eiri se lavait consciencieusement, déjà fin prêt à écrire son livre, même s’il n’était pas très motivé dès le matin. Les nuits blanches allaient recommencées mais tant pis, ce n’était pas grave, à force il allait avoir l’habitude et même peut-être avait-il déjà prit l’habitude de ses nuits blanches ? Il l’ignorait et s’en foutait un peu. Ainsi il entendit le toquement sur la porte de la salle de bain et se demandait ce que ce crétin, vu que sa ne pouvait-être que lui, pouvait bien lui vouloir et la réponse vint bien vite. Mlle Mizuki, la journée commençait… Sortant de la douche tout mouillé, ses cheveux blonds dorés ruisselant d’eau, il prit une serviette ce l’a mit autour du bas, parce que le haut pouvait ne pas être recouvert. Contrairement aux filles…

Il ouvrit la porte et regarda son amant aux cheveux roses tenant le téléphone dans ses mains et lui prit délicatement des mains parce qu’il ne fallait pas faire attendre Mlle Mizuki après tout, même s’il aurait aimé qu’elle lui laisse au moins son matin, même s’il s’était douté que sa n’allait pas arrivé. Il porta le téléphone à son oreille et écouta la jeune femme parler. Elle lui donnait toutes les indications, les horaires et tout ce qu’il fallait pour son nouveau livre, il retenu tout et approuva à chaque fois par un simple « ok » ou « d’accord ». Il raccrocha assez rapidement après lui avoir dit « au revoir » et soupira…


- Le boulot commence…

Si Shuichi devait aller au travail pour aller répéter ou faire il ne savait quoi, l’écrivain de son côté allait devoir recommencer un nouveau livre. Dans un sens cela ne le dérangeait pas, il aimait écrire, il avait toujours voulu être écrivain et l’était devenu à partir d’une simple promesse faites avec son professeur. De repenser à ça, cela lui fit repenser au cauchemar qu’il avait fait la veille… Quand le crétin était partit… Il éloigna très rapidement cette pensée de sa tête et regarda le chanteur aux cheveux roses qui lui servait d’amant malgré sa débilitée. Il redonna le téléphone à Shuichi et referma la porte de la salle de bain pour finir de se laver. Par chance, Eiri avait tout fini au niveau de la douche, il ne lui restait plus qu’à s’essuyer et à s’habiller. Après s’être essuyé un peu partout.

Prenant ainsi une chemise blanche qu’il avait prit pour s’habiller, la banale chemise qu’il avait en quadruple voire plus dans son placard. Il aimait les chemises, c’était facile pour s’habiller avec et sa faisait « classe ». Ensuite il enfila un pantalon noir et des simples chaussures après avoir mis des chaussettes. Il avait fini de s’habiller. Ressortant de la salle de bain, après avoir aussi donné un coup de peigne et de brosse à ses cheveux il poussa un énième soupir… C’est parti.
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyVen 17 Avr - 21:47

La porte s’ouvrit sur son amant avec les cheveux mouillés, Shuichi regardait Yuki, qui ce dernier le regardait aussi, puis il prit doucement le téléphone des mains du jeune chanteur aux cheveux roses. Ce dernier le regardait toujours, pendant qu’il répondait à Mlle Mizuki, Shuichi avait deviné tout de suite que son amant allait écrire son livre et qu’il ne le reverrait pas pendant un moment. Le chanteur éprouvait de la triste encore plus de triste qu’il avait en ce moment dans son petit cœur.

Eiri redonnait le téléphone à Shuichi, avant de refermer la porte de la salle de bain au nez du chanteur aux cheveux roses. Celui-ci baissa la tête et alla doucement dans le salon pour remettre le téléphone en place, il soupirait, se demandant toujours si Yuki lui en voulait. Cette peur venait à chaque fois, lorsque l’écrivain daignait lui adresser un mot, même si c’est une insulte. Shuichi attendait que son amant sorte pour aller lui parler, lorsque ce dernier sorti de la salle de bain, douché, habillé et peigné, Shuichi se précipita pour aller le voir. Mais, vu qu’il n’y avait pas beaucoup de distance entre la salle de bain et son bureau, qu’a peine arrivait, Eiri avait déjà fermer la porte de son bureau, laissant Shuichi derrière.


_ Yuki, tu m’en veux ?

Shuichi s’effondrait sur le parquet, assit sur le plancher, tête sur ses genoux, attendant un signe ou la voix de son cher Amant, même si c’est une insulte.


_ J’ai fait quelque chose de mal ?

Le jeune chanteur restait longtemps comme ça, le regard dans le vide, sans bouger, toujours avec cette peur qui le hante. La peur qu’Eiri lui dise de s’en aller et de ne plus revenir, sa le hante depuis qu’il l’avait giflé. Pourquoi, Shuichi l’avait giflé d’abord ? Le jeune chanteur ne s’en rappelait plus. Est-ce parque Eiri était aller trop loin ? Est-ce parque Shuichi avait perdu son calme ? Allez savoir, la vie d’un couple est tellement difficile à comprendre par moment, pour ne pas dire tout le temps. Ainsi Shuichi n’allait pas à son travail, a quoi sa sert, il est tout seul et sa l’ennuyer, alors qu’il adorait chanter. Mais chanter tout seul non. A moins que se soit Eiri qui l’obligerait à y aller ou son patron, Tohma Segushi, mais qu’importe pour le moment il allait rester ici, assit sur le plancher,à côté de la porte du bureau de son Amant qui doit certainement commencer la première page de son livre d’amour qu’y n’allait pas ce finir par un Happy End.
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Subaru Kurosaki
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyLun 4 Mai - 23:03

Il l’avait oublié. Il fallait l’avouer, il l’avait complètement oublié. Peut-être était ce parce que le téléphone et la discussion avec Mlle Mizuki lui avait fait oublié qu’il n’était pas loin. Peut-être était ce parce qu’il croyait qu’il était déjà parti au boulot et que sa ne servait à rien de le poursuivre. Ou peut-être juste son boulot lui avait fait oublier qu’il était là. Mais quand même, comment avait-il put l’oublier après l’évènement qui c’était déroulé la veille ? Oui, comment Eiri avait-il put oublier Shuichi ? Allez savoir. Alors, pendant qu’il écrivait, pendant qu’il commençait ce nouveau livre dont l’histoire allait sûrement être ignoble – comme quasiment tous les autres – il entendit cette voix qui résonnait tout le temps dans ses oreilles à longueur de journée. Elle lui parlait, elle lui demandait si le blond lui en voulait. Lui en vouloir de quoi ? De lui avoir mit une claque ? Non, ce n’était pas vrai. Même si cela avait étonné Eiri, même si sa l’avait énormément surpris, oui, peut-être même que sa l’avait choqué au plus profond de lui, il n’en voulait pas à Shuichi parce qu’il savait parfaitement que la veille il avait été beaucoup trop loin.

Il entendit le bruit de l’effondrement vu qu’il avait arrêté d’écrire. Son crétin d’amant déprimait à ce point ? Et il entendit une dernière question. Non, même si l’idiot l’avait frappé, il n’avait pas fait quelque chose de mal. C’était juste Eiri qu’avait totalement oublier que Shuichi existait et avait un peu plus pensé à son boulot qu’à son propre amant. Il termina rapidement sa phrase, qui n’était pas bien longue, enregistra avec un titre et se leva de sa chaise, et se mit accroupit devant la porte.


- Abruti.

Une insulte, une simple petite insulte prononcée avec un soupir. Cette insulte suffisait à Eiri de s’exprimer. Un mot suffisait, après, si Shuichi avait de la chance, le blond utilisait parfois d’autres termes. Oui, ces deux garçons formaient bien un couple, même si l’un d’entre eux ne parlait quasiment jamais. Et puis il ouvrit la porte, en restant accroupi, et regarda Shuichi. Sans rien dire, sans bouger plus, restant accroupit en face de cet amant qui était effondré sur le parquet. La tête dans les genoux. Allait-il lui dire que Shuichi n’avait rien fait de mal ? Que le romancier l’avait juste un peu oublié sur le coup ? Allez savoir. Seul l’avenir et le destin le savent. Pas nous. Ah, sauf moi peut-être, mais ça ce n’est qu’un détail.

Il s’approcha en restant accroupi. Et donna un coup sur la tête de son amant. Pas un coup violent, pas ce genre de coup qu’Eiri donnait quand il était énervé après Shuichi, un simple coup, comme pour lui redire une insulte qui se résumait à lui dire qu’il n’était qu’un idiot. Et soupira une nouvelle fois.


- Si tu avais vraiment fait quelque chose de mal…

Que se serait-il passé ? Qu’aurait fait Eiri ? Se serait-il énervé ? Aurait-il plaqué pour de bon Shuichi ? Peut-être. Mais dans les circonstances de la veille, si Shuichi avait fait quelque chose de mal, le romancier n’aurait pas été le sauver. Non. Il n’aurait pas bougé d’un petit doigt et aurait ignoré les mecs qui avaient failli violer ou tout autre chose sexuelle non consentante, son amant. Jamais. Mais il l’avait fait, il avait tabassé tous ses mecs qui avaient voulu faire du mal au chanteur. Sans s’arrêter, sans avoir peur. En conclusion, l’abruti, vu qu’Eiri l’appelait comme ça, n’avait rien faire de mal.

- Je te l’aurais fait savoir.

Soupir simple de la part du blond. Il ne comprendrait décidemment jamais cet idiot aux cheveux roses fluos. Cela lui fit repenser à la discussion qu’il avait eut avec cette patineuse… La veille avait-il été « triste » au point de vouloir noyer ce « chagrin » dans un bar ? Si c’était le cas c’était juste à cause de son cauchemar alors.

- Idiot.

Encore une simple insulte suivant le soupir. Et ce n’est pas fini.

- J’ai juste été tout de suite me mettre à mon boulot.

Donc dans un sens, si on y réfléchissait, c’était lui, l’idiot. Mais ça… Eiri le savait-il ?
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyJeu 14 Mai - 21:34

Cela faisait un moment que Shuichi attendait derrière la porte du bureau de son amant. Quel heure est-il ? il n’en savait rien et il ne voulait pas le savoir. Pourquoi cette attende, si Eiri ne voulait plus lui parler pourquoi il insiste tellement a entendre la voix de l’écrivain ? La peur ? la peur de le perdre…
A peine pensait-il a ça que la porte s’ouvrit sur son amant qui s’était accroupi. Le jeune chanteur releva sa tête quand Yuki lui parlait, Shuichi ne pouvait retenir ses larmes qui continuaient a perlées sur ses joues toutes roses. Ses yeux humides plongeaient dans ceux d’Eiri, qui sont toujours de couleur topaze.

Les paroles de son écrivain rassuraient Shuichi, qui essayait de sourire mais en vain, trop peiner pour en faire un joli a son amant, comme pour lui « merci de ne pas m’en vouloir et je comprends ». Mais Shû-chan se mit a ce balancer d’avant en arrière, son dos tapait contre le mur derrière lui.

_ Tu es toujours obnubiler par ton boulot je voudrais….avoir une place beaucoup plus importante que ton travail…que tu t’occupes de temps en temps de moi sans me dire de méchanceté…

_ J’ai juste été tout de suite me mettre à mon boulot.

Le cœur lourd et sans s’en rendre compte, shuichi se retrouvait contre son amant. Est-ce son corps lui-même qui a fait ce geste qu'Eiri n'aime pas ou est-ce son cœur ou encore le besoin d'être réconforter? Allez savoir seul Eiri pourra le décider. Shuichi murmurait quelque chose dans l'oreille de son amant aux cheveux blond et aux magnifiques yeux dorés.
_ Ne m'oublie plus.

Shuichi avait retirer sa tête avant d'éternuer pour ne pas mettre de la morve sur les habits d'Eiri, Puis il commença a avoir des frissons, il avait sans doute attraper un rhume après tout sa serait logique, vu qu'il a passer quelques minutes torse nu dans la nuit glacier d hier soir. Le jeune chanteur avait relever sa tête vers Yuki, sa figure était devenue toute blanche, ses joues qui, quelques minutes avant avaient une teinte roses, s'est changer en une teinte blanchâtre.
_ Je me sent pas bien Eiri. J'ai chaud et froid en même temps.

Pour une fois, Shû-chan ne mentait pas, il ne se sentait vraiment pas bien. Il respirait difficilement comme si on voulait l'étrangler, son front était brulant comme une bouilloire qu'on aurait laisser longtemps sur le feu, un teint vraiment très pâle semblable a ceux des morts, il ne pouvait plus bouger tellement qu'il avait mal dans ses membres puis le pire était arriver, Shuichi qui s'était efforcer a ne pas salir la jolie chemise qu'Eiri avait plusieurs fois dans l'armoire se retrouva avec une grosse tâche qui ressemblait fort a ce que Shuichi avait manger au petit déjeuner, avec une odeur abominable en prime. Le jeune chanteur avait tous les symptômes de la grippe ordinaire.
Mais une seule question nous brûler les lèvres, comment Eiri va t-il prendre cela?
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit EmptyJeu 11 Juin - 14:11

A sa grande surprise Eiri ne l'a pas gronder pour la chemise, chose des plus étonnante. Mais bon, sous son sale caractère, Eiri avait une part de gentillesse qui se manifeste que très rarement. Eiri pris lentement son amant tel une jolie petite princesse, sans rajouter rien de plus sur la chemise, et alla le poser dans son lit pour finir par enlever sa propre chemise. Shuichi regardait son amant se dévêtir de sa chemise, malgré la fièvre,le jeune chanteur aux cheveux roses parvient a rougir et se qu'il avait de la chance, mais bon tout le monde c'est que ce n'est pas une chance d'être malade, surtout si c'est la grippe qu'on a.

Le bel écrivain posa sa main sur le front de shuichi et ce dernier n'arriver pas a définir la chaleur de la main d'eiri et la chaleur de son front brûlant. Son amant parti chercher des médicaments dans la salle de bain et revient dans la chambre.
- Aujourd’hui tu restes à la maison. Et peut-être bien que demain aussi….

Shuichi regarda son amant et lui dit:
_ de.... toute.... façon....je suis.....tout.....seul a.....chaque fois
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MessageSujet: Re: Le commencement de la fin de la nuit   Le commencement de la fin de la nuit Empty

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